#Chloroquine #NoublionsRien
Étude "anti Chloroquine" : 3 des 4 auteurs se rétractent
#NoublionsRien #Chloroquine
Les trois quarts des auteurs de l'étude "anti Chloroquine" du Lancet se rétractent
Éditorial
Vous êtes nombreux à nous suivre et nous essayons de répondre à vos questions multiples, tout en travaillant sur le fond des dossiers.
Parfois, vous pouvez avoir l’impression qu’il ne se passe rien mais c'est l'exact contraire.
Cette newsletter est destinée à répondre à cette double interrogation.
Si nous pouvons ouvrir autant d’actions collectives « en même temps », on le doit principalement à un travail d’équipe. Une équipe qui s’étend de jour en jour. Ces nouveaux avocats ou juristes, qui travaillent dans l’ombre, permettent de mixer les expériences et les savoir-faire pour inventer une nouvelle forme de travail plus créative.
Comme vous, nous voulons le meilleur et cela nécessite du travail et du temps. Les différents professionnels qui interviennent dans l’élaboration des actes de procédure ou qui recherchent des solutions inédites, sont aussi intransigeants qu’indépendants.
Grâce à votre soutien, nous sommes en mesure d’œuvrer ensemble pour faire émerger la vérité et, à terme, triompher la justice.
Christophe Lèguevaques
Avocat au barreau de Paris
Docteur en droit
La nouvelle (essentielle) du jour
Rétractation de l'étude anti chloroquine du "Lancet"
Quelle histoire ! Dans ce dernier épisode de la saga #LancetGate, trois des quatre auteurs de l'étude qui a déclenché la suspension des essais chloroquine en France (Olivier Véran, Ministre de la Santé - HAS, Haute Autorité de Santé) et dans le Monde (OMS, Organisation Mondiale de la Santé) se sont rétractés de leur étude.
Ne s’est pas (encore) rétracté Sapan Desai, co-fondateur de la société Surgisphere qui a "fourni" les données de l'étude… entreprise surgie de nulle part!
Toute cette histoire renforce notre détermination. Nous espérons pouvoir vous faire lire notre argumentation juridique d’ici au 20 juin 2020.
À suivre...
Vos très dévoués,
Arnaud Durand, Christophe Lèguevaques & Séverine Manna
Avocats au Barreau de Paris
#RassurezNous : Une Action Collective... pour les pros !
Avec le confinement, le gouvernement a mis le pays à l’arrêt. Nombreuses activités (cafés, hôtels, restaurants, événementiels, tourisme, culture, sport, formation, etc) ont fait l’objet d’une fermeture administrative.
D’autres ont été placées dans l’impossibilité de recevoir du public (professionnel de santé : ostéopathes et kiné, par exemple).
D’autres encore ont vu leur chiffre d’affaires réduit à une peau de chagrin, ne permettant pas d’assurer la survie des professionnels impactés.
Pourtant, sans forcément le savoir, les contrats d’assurance peuvent contenir une garantie "Pertes d’exploitation" qui pourrait venir utilement soutenir l’activité défaillante.
Pour en faciliter l’exercice, le Gouvernement devrait prendre un arrêté de catastrophe naturelle. Mais jusqu’à présent, il a oublié …
De leur coté, les assurances refusent de payer, tergiversent ou coupent les cheveux en quatre pour décourager les entrepreneurs ou espérer... qu’ils disparaissent.
Devant tant de cynisme, vous avez été plusieurs à nous demander d’intervenir. Nous avons imaginé une solution innovante : la négociation collective.
L’idée est simple : seul face à un géant, il peut vous balader ou vous positionner comme un pion sur un échiquier trop grand pour vous.
Mais en vous unissant avec d'autres, vous devenez une force de négociation qui peut imposer une discussion à armes égales.
À défaut, les compagnies doivent comprendre que vous êtes résolus à aller jusqu’au bout. Elles prennent alors un risque supplémentaire : payer la garantie qu’elles feignent de régler et payer encore pour les frais de procédure et notamment d’expertise que des milliers de demandeurs vont générer.
Par ailleurs, elles risquent de perdre de fidèles clients qui ont payé pendant des années des primes, sans la moindre prise en charge…
Si vous n’êtes pas concernés, n’hésitez pas à en parler autour de vous afin de briser l’omerta organisée par les assurances. Pour elles (et donc pour vous), l’enjeu est conséquent : injecter plusieurs milliards d’euros directement dans l’économie réelle et non dans l’économie financière.
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