Covid19 - Nous avons le droit de savoir, la parole est aux associations [VIDEO]


Présentation de trois associations sur les quatre à l'origine de la procédure de référé-probatoire destinée à faire la lumière sur les nombreuses zones d'ombre de la crise du confinement.



Le moment est venu de rassembler des informations, des preuves et de solliciter des expertises, notamment informatiques, qui permettront plus tard à des juges indépendants et impartiaux de prendre le temps d’écrire l’histoire judiciaire des oublis, des délaissements et des fautes civiles, administratives, voire pénales que les éléments rassemblés pourront contribuer à démontrer.
 
Sans se substituer aux enquêtes initiées par certains parquets[[1]]url:#_ftn1 ici[[2]]url:#_ftn2 ou là[[3]]url:#_ftn3 , au gré des plaintes des familles[[4]]url:#_ftn4 et dans le souci d’éviter à un morcellement des procédures qui feraient perdre sa cohérence à l’ensemble, il nous a paru nécessaire de présenter le contexte particulier de cette crise qui a ravagé nos vies, taraudé l’économie, et sapé la confiance que les citoyens pouvaient avoir envers leurs gouvernants (Chapitre Premier).
 
Sans colère mais avec détermination, les requérants ont identifié trois séries de questions auxquelles il faut apporter des réponses sourcées et documentées. En raison de l’existence de motifs légitimes, les requérants sollicitent de Madame ou Monsieur le président du Tribunal judiciaire de Paris de prendre, sur le fondement de l’article 145 du Code de procédure civile, les mesures permettant la conservation ou l’établissement de preuves qui peuvent influer sur les procédures à venir (Chapitre II).
 
Alors que les querelles d’égos défraient la chronique, à une époque où la science est instrumentalisée voire cannibalisée par certains industriels, à un moment charnière où certains profitent de la situation pour créer toujours plus de confusion dans les esprits et dans les cœurs, n’hésitant pas à miner les fondements de la démocratie, les requérants se tournent vers la justice afin qu’elle détruise les rumeurs rebaptisées « fake news » et permette l’émergence d’une vérité partagée seul moyen pour rétablir la confiance nécessaire, mobiliser toutes les énergies et se battre, ensemble, contre une pandémie qui risque de s’inscrire dans le temps.
 
Il appartiendra aux défendeurs de déterminer s’ils entendent coopérer dans cette démarche pacificatrice.





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