Elle s’appelle Meryem Marzouki. Son métier : chargée de recherche en informatique au CNRS. Sa vocation : la défense des libertés publiques dans l’espace digital. Depuis quelques mois, cette femme qui préside Iris (Imaginons un réseau internet solidaire), un réseau militant, mène une guérilla juridique contre le passeport biométrique français.
Déjà trois millions deux cent mille exemplaires de ce titre d’identité sont en circulation. Avec d’autres associations, Meryem Marzouki réclame l’annulation pure et simple du décret du 30 avril 2008 instaurant ce nouveau passeport dont la particularité est de contenir une carte à puce RFID (Radio Frequency IDentification) qui mémorise nos empreintes digitales.
"La réglementation européenne n’en demande pas autant"
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