« Nous ne sommes pas satisfaits de la réponse de Philips. Pour les 390.000 malades souffrants de l’apnée du sommeil et les 25.000 insuffisants respiratoires, les informations communiquées sont insuffisantes et contradictoires avec celles que nous avons récoltées dans d’autres pays. Ces zones d’ombre renforcent l’inquiétude des malades », explique Christian Trouchot, administrateur de la FFAAIR, fédération qui regroupe plus d’une cinquantaine d’associations de malades partout en France.
« Pour faire toute la lumière sur cette affaire, nous avons décidé de mandater Me Christophe Lèguevaques, avocat au barreau de Paris, afin qu’il porte plainte contre X et se constitue partie civile au nom de l’association », précise Monsieur Trouchot.
« C’est une immense marque de confiance », déclare en écho Me Christophe Lèguevaques, « nous avons d’ores et déjà détecté des contradictions et des approximations qui nous paraissent suspectes. Notre plainte visera principalement les infractions de mise en danger de la vie d’autrui, de tromperie et d’administration de substances nuisibles. Elle devrait être déposée à la mi-avril, le temps de constituer un dossier complet et d’intégrer les personnes physiques qui souhaiteraient nous rejoindre. Compte tenu de l’ampleur de cette affaire, j’espère que le Pole Santé du Tribunal de Paris sera saisi. Il a une compétence nationale et surtout il détient une expérience qui a fait ses preuves, notamment dans l’affaire du Médiator ».
Par ailleurs, M. Christian Trouchot appelle les malades à rejoindre l’action collective accessible sur le site www.myleo.legal. En effet, il estime que « cette action collective peut nous permettre de nous compter, d’être des milliers et par là même de nous faire respecter de Philips, des autorités et même des médecins ».
« Pour faire toute la lumière sur cette affaire, nous avons décidé de mandater Me Christophe Lèguevaques, avocat au barreau de Paris, afin qu’il porte plainte contre X et se constitue partie civile au nom de l’association », précise Monsieur Trouchot.
« C’est une immense marque de confiance », déclare en écho Me Christophe Lèguevaques, « nous avons d’ores et déjà détecté des contradictions et des approximations qui nous paraissent suspectes. Notre plainte visera principalement les infractions de mise en danger de la vie d’autrui, de tromperie et d’administration de substances nuisibles. Elle devrait être déposée à la mi-avril, le temps de constituer un dossier complet et d’intégrer les personnes physiques qui souhaiteraient nous rejoindre. Compte tenu de l’ampleur de cette affaire, j’espère que le Pole Santé du Tribunal de Paris sera saisi. Il a une compétence nationale et surtout il détient une expérience qui a fait ses preuves, notamment dans l’affaire du Médiator ».
Devant les informations contradictoires qui circulent, M. Christian Trouchot prend son courage à deux mains et explique « tant que l’on ne peut pas avoir un nouveau respirateur, il faut continuer à utiliser le Philips, même s’il est suspect. A titre personnel, je préfère craindre un risque incertain et lointain, en continuant d’utiliser le respirateur plutôt que de faire face à un danger certain et immédiat résultant de l’arrêt du traitement ».
Par ailleurs, M. Christian Trouchot appelle les malades à rejoindre l’action collective accessible sur le site www.myleo.legal. En effet, il estime que « cette action collective peut nous permettre de nous compter, d’être des milliers et par là même de nous faire respecter de Philips, des autorités et même des médecins ».
Présentation de la FFAAIR
La FFAAIR (http://ffaair.org/) est présidée depuis mai 2018 par Marie-Agnès Wiss-Laurent, présidente de l’Association des Insuffisants Respiratoires de Sud Alsace (AIRSA), basée à Mulhouse.
La FFAAIR est depuis 2007 une association de patients agréée par les Pouvoirs publics. Cet agrément a été reconduit en 2012, puis en 2017 (arrêté du 2 mai 2017) .
La FFAAIR est gérée depuis Paris par des bénévoles, personnes malades insuffisantes ou handicapées respiratoires. Elle s’implique dans des actions d’information et de défense du droit des malades dans le cadre de la reconnaissance des maladies respiratoires. La FFAAIR regroupe au plan national 51 associations régionales ou départementales au nombre d’adhérents variable. Chaque association est autonome et développe ses propres activités : accueil, information, écoute et soutien, sorties en groupe, liens avec les intervenants sociaux… La FFAAIR est membre de plusieurs organisations, dont France Asso Santé.
A ce titre, elle participe à de nombreux Groupes de Travail et de Réflexion, pour lesquels elle est consultée en tant que Fédération référente représentant les malades et handicapés respiratoires (agréée en juin 2007 pour représenter les usagers dans les instances hospitalières ou de santé publique).
La FFAAIR est depuis 2007 une association de patients agréée par les Pouvoirs publics. Cet agrément a été reconduit en 2012, puis en 2017 (arrêté du 2 mai 2017) .
La FFAAIR est gérée depuis Paris par des bénévoles, personnes malades insuffisantes ou handicapées respiratoires. Elle s’implique dans des actions d’information et de défense du droit des malades dans le cadre de la reconnaissance des maladies respiratoires. La FFAAIR regroupe au plan national 51 associations régionales ou départementales au nombre d’adhérents variable. Chaque association est autonome et développe ses propres activités : accueil, information, écoute et soutien, sorties en groupe, liens avec les intervenants sociaux… La FFAAIR est membre de plusieurs organisations, dont France Asso Santé.
A ce titre, elle participe à de nombreux Groupes de Travail et de Réflexion, pour lesquels elle est consultée en tant que Fédération référente représentant les malades et handicapés respiratoires (agréée en juin 2007 pour représenter les usagers dans les instances hospitalières ou de santé publique).
Présentation de MYLEO
Convaincu que le numérique peut servir à rendre la justice plus accessible, l’avocat Christophe Lèguevaques (CLE) lance en septembre 2021 MYLEO, une nouvelle plateforme de mise en relation entre particuliers et avocats souhaitant mener une action collective conjointe. Elle vise à mettre à disposition des informations sourcées et vérifiées par des avocats et à faire en sorte de mener à bonne fin l’action collective.
L’expert derrière la plateforme.
Originaire de Toulouse, inscrit au barreau de Paris depuis 1993, Me Christophe Lèguevaques (CLE) devient alors peu à peu l’un des spécialistes des actions collectives en France. Il s’est notamment fait connaître pour avoir défendu les victimes des affaires AZF, Levothyrox, , Chlordecone, Motorgate, etc.
Originaire de Toulouse, inscrit au barreau de Paris depuis 1993, Me Christophe Lèguevaques (CLE) devient alors peu à peu l’un des spécialistes des actions collectives en France. Il s’est notamment fait connaître pour avoir défendu les victimes des affaires AZF, Levothyrox, , Chlordecone, Motorgate, etc.