Seront exposées les preuves avancées par les demandeurs pour justifier avec l’évidence requise en référé d’une atteinte

- à la liberté de choix,
- à la vie privée
- ainsi qu’à la protection de la santé.

Pour mémoire, même l’ANSES, agence sous tutelle gouvernementale, reconnaît des « incertitudes sur les effets sanitaires pour les fréquences mises en œuvre ».

Me Corinne LEPAGE développera notamment les arguments de protection de la santé au nom du principe de précaution et rappellera différentes sources internationales reconnaissant l’impact des ondes sur la santé.

Me Christophe LEGUEVAQUES (CLE) démontrera pourquoi il n'existe pas d'obligation d'accepter le LINKY chez soi et insistera sur le refus des consommateurs de de devenir de la "chair à data".