La « Fonderie GILLET » est une entreprise multiséculaire dont l’origine remonte au Roi-Soleil (1687). Fournisseur officiel et attitré de la monarchie, elle est aussi devenue celui de la Grande Armée et des soldats de la République au cours des différents conflits qui ont émaillé l’histoire de France.
Avec un savoir-faire incontestable sur des méthodes de fabrications de pièces moulées en Sable à Vert et Sable Chimique. Il existe aujourd’hui peu de fonderie en France avec du personnel autant qualifié dans ce genre de métier. La « Fonderie GILLET » peut ainsi répondre à des commandes sur des ensembles complets, c'est-à-dire des pièces brutes de fonderie et des pièces totalement usinées.
Il s’agit d’une des rares fonderies en France à travailler tout à la fois, l’aluminium, du bronze et du cupro-aluminium.
Malheureusement, elle a subi la crise avec d’autant plus de forces qu’elle a été mal géré depuis de nombreuses années.
Pour améliorer les marges de l’entreprise, les repreneurs mettront en œuvre une politique active de responsabilisation à tous les échelons de la production en contrôlant et maîtrisant rigoureusement la totalité du temps de production, des flux et encours. De cette manière, la SCOP (société coopérative) devrait arriver à dégager des bénéfices qui seront immédiatement et intégralement réinvestis au mois au cours des trois premières années.
Force est de constater que les schémas classiques de reprise ont échoué et que le modèle de production établie par les actionnaires, dirigeants et administratifs ne fonctionne pas.
La force de la présente offre réside notamment par la participation directe des ouvriers dans le fonctionnement et l’exploitation de la fonderie. Ce schéma de reprise particulier à l’avantage de mobiliser les forces actives de l’entreprise et correspond, dans ce secteur d’activité, à un schéma qui a fait ses preuves. En effet, il existe plusieurs fonderies en France reprises sur le schéma proposé de la participation directe des salariés et qui sont donc gérées en SCOP à la suite d’une procédure collective. Elles poursuivent aujourd’hui leur activité dans des conditions satisfaisantes qui permettent en tout état de cause de maintenir l’activité et les emplois (Fonderie rollinger, Fonderie de l’Aisne, Fonderie mécanique lensoise).
« Nous assistons à un changement de paradigme », déclare Me Christophe LEGUEVAQUES qui s’était illustré l’année dernière dans la reprise de SPANGHERO, « Dans les années 80/90, le droit des faillites a permis à certains aventuriers de se constituer le début de leur fortune (Bernard Tapie, bien sûr mais également François Pinault et Bernard Arnault). Dans les années 2000, ce sont les fonds d’investissement et de capital retournement qui sont venus chercher des relais de croissance. La casse sociale a été sérieuse et les réussites plus qu’hasardeuses, il suffit de penser au cas MORY-DUCROS. Aujourd’hui, avec la mécanique des SCOP, le soutien de l’URSCOP et la créativité financière de M. Cyrile ROCHER, nous proposons aux salariés de prendre leur destin en main, de devenir leur propre patron et de profiter du droit des entreprises en difficulté pour reconstruire un outil de travail compétitif. Si le tribunal de commerce d’Albi valide notre offre, cela ouvre de nouvelles perspectives pour les reprises d’entreprise : les salariés pourront trouver dans ce droit économique les outils pour sauvegarder une partie de l’emploi et redresser les entreprises dans une perspective long terme qui faisait trop souvent défaut aux aventuriers et aux fonds d’investissements ».
Avec un savoir-faire incontestable sur des méthodes de fabrications de pièces moulées en Sable à Vert et Sable Chimique. Il existe aujourd’hui peu de fonderie en France avec du personnel autant qualifié dans ce genre de métier. La « Fonderie GILLET » peut ainsi répondre à des commandes sur des ensembles complets, c'est-à-dire des pièces brutes de fonderie et des pièces totalement usinées.
Il s’agit d’une des rares fonderies en France à travailler tout à la fois, l’aluminium, du bronze et du cupro-aluminium.
Malheureusement, elle a subi la crise avec d’autant plus de forces qu’elle a été mal géré depuis de nombreuses années.
Pour améliorer les marges de l’entreprise, les repreneurs mettront en œuvre une politique active de responsabilisation à tous les échelons de la production en contrôlant et maîtrisant rigoureusement la totalité du temps de production, des flux et encours. De cette manière, la SCOP (société coopérative) devrait arriver à dégager des bénéfices qui seront immédiatement et intégralement réinvestis au mois au cours des trois premières années.
Force est de constater que les schémas classiques de reprise ont échoué et que le modèle de production établie par les actionnaires, dirigeants et administratifs ne fonctionne pas.
La force de la présente offre réside notamment par la participation directe des ouvriers dans le fonctionnement et l’exploitation de la fonderie. Ce schéma de reprise particulier à l’avantage de mobiliser les forces actives de l’entreprise et correspond, dans ce secteur d’activité, à un schéma qui a fait ses preuves. En effet, il existe plusieurs fonderies en France reprises sur le schéma proposé de la participation directe des salariés et qui sont donc gérées en SCOP à la suite d’une procédure collective. Elles poursuivent aujourd’hui leur activité dans des conditions satisfaisantes qui permettent en tout état de cause de maintenir l’activité et les emplois (Fonderie rollinger, Fonderie de l’Aisne, Fonderie mécanique lensoise).
« Nous assistons à un changement de paradigme », déclare Me Christophe LEGUEVAQUES qui s’était illustré l’année dernière dans la reprise de SPANGHERO, « Dans les années 80/90, le droit des faillites a permis à certains aventuriers de se constituer le début de leur fortune (Bernard Tapie, bien sûr mais également François Pinault et Bernard Arnault). Dans les années 2000, ce sont les fonds d’investissement et de capital retournement qui sont venus chercher des relais de croissance. La casse sociale a été sérieuse et les réussites plus qu’hasardeuses, il suffit de penser au cas MORY-DUCROS. Aujourd’hui, avec la mécanique des SCOP, le soutien de l’URSCOP et la créativité financière de M. Cyrile ROCHER, nous proposons aux salariés de prendre leur destin en main, de devenir leur propre patron et de profiter du droit des entreprises en difficulté pour reconstruire un outil de travail compétitif. Si le tribunal de commerce d’Albi valide notre offre, cela ouvre de nouvelles perspectives pour les reprises d’entreprise : les salariés pourront trouver dans ce droit économique les outils pour sauvegarder une partie de l’emploi et redresser les entreprises dans une perspective long terme qui faisait trop souvent défaut aux aventuriers et aux fonds d’investissements ».