EDITORIAL
Tout va trop vite. Une polémique chasse l'autre, une étude efface la précédente, un règlement annule et remplace une réglementation prise dans l'urgence parfois en manquant du recul nécessaire à la réflexion.
Par ailleurs, nous sommes sollicités - et critiqués - de toutes parts pour lancer une nouvelle procédure sur tel sujet ou contre telle action ou inaction du gouvernement.
Nous nous en tenons à notre ligne éditoriale définie en avril 2020. Nous ne cherchons pas la lumière mais la vérité.
C'est un travail long, harassant.
Après la procédure en droit administratif qui a été initiée dès juin
et la procédure secrète ouverte en août, nous continuons notre chemin.
Nous allons vous proposer une procédure dite de l'article 145 du Code de procédure civile. L'objet principal de cette procédure consiste à réunir des preuves et à souligner les contradictions entre les paroles et les actes de nos gouvernements et des profiteurs de l'épidémie.
Si vous le souhaitez, vous pouvez y participer.
Dans les prochains jours, vous recevrez un courriel vous donnant accès à votre espace client personnalisé dans lequel vous pourrez déposer les pièces nécessaires à la procédure.
Une fois l'espace client mis en place et opérationnel, nous vous proposerons également de rejoindre l'action en droit administratif. En effet, si le juge des référés, c'est-à-dire le juge de l'urgence, a rejeté notre demande de suspension, il n'en demeure pas moins vrai que la procédure au fond se perpétue.
D'ailleurs, il faut savoir qu'une telle procédure peut encore durer au moins douze mois.
Comme vous pouvez le constater, l'équipe reste mobilisée, à l'écoute. Car nous n'oublions rien.
Christophe Lèguevaques
@CLeguevaques31