Avec le confinement, le gouvernement a mis le pays à l’arrêt. Nombreuses activités (cafés, hôtels, restaurants, événementiels, tourisme, culture, sport, formation, etc) ont fait l’objet d’une fermeture administrative.
D’autres ont été placées dans l’impossibilité de recevoir du public (professionnel de santé : ostéopathes et kiné, par exemple).
D’autres encore ont vu leur chiffre d’affaires réduit à une peau de chagrin, ne permettant pas d’assurer la survie des professionnels impactés.
Pourtant, sans forcément le savoir, les contrats d’assurance peuvent contenir une garantie "Pertes d’exploitation" qui pourrait venir utilement soutenir l’activité défaillante.
Pour en faciliter l’exercice, le Gouvernement devrait prendre un arrêté de catastrophe naturelle. Mais jusqu’à présent, il a oublié …
De leur coté, les assurances refusent de payer, tergiversent ou coupent les cheveux en quatre pour décourager les entrepreneurs ou espérer... qu’ils disparaissent.
Devant tant de cynisme, vous avez été plusieurs à nous demander d’intervenir. Nous avons imaginé une solution innovante : la négociation collective.
L’idée est simple : seul face à un géant, il peut vous balader ou vous positionner comme un pion sur un échiquier trop grand pour vous.
Mais en vous unissant avec d'autres, vous devenez une force de négociation qui peut imposer une discussion à armes égales.
À défaut, les compagnies doivent comprendre que vous êtes résolus à aller jusqu’au bout. Elles prennent alors un risque supplémentaire : payer la garantie qu’elles feignent de régler et payer encore pour les frais de procédure et notamment d’expertise que des milliers de demandeurs vont générer.
Par ailleurs, elles risquent de perdre de fidèles clients qui ont payé pendant des années des primes, sans la moindre prise en charge…
Si vous n’êtes pas concernés, n’hésitez pas à en parler autour de vous afin de briser l’omerta organisée par les assurances. Pour elles (et donc pour vous), l’enjeu est conséquent : injecter plusieurs milliards d’euros directement dans l’économie réelle et non dans l’économie financière.