Dans l’indifférence générale, PHILIPS annonçait le 15 juin 2021 le retrait volontaire de plusieurs millions de respirateurs utilisés toutes les nuits par des personnes souffrant d’apnée du sommeil ou de difficultés respiratoires. En France, ce sont plus de 350.000 personnes qui sont concernées.
Aucune campagne d’informations n’a été lancée. En février 2022, l’ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament) déplore que 93 % des malades soient encore équipés de dispositifs médicaux potentiellement dangereux.
En effet, des études prouvent que la mousse isolante utilisée, à base de polyuréthanes, tend à se désagréger. Le respirateur propulse alors des poussières microscopiques de plastique au plus profond du poumon, occasionnant irritations et, dans certains cas, des cancers.
Aucune campagne d’informations n’a été lancée. En février 2022, l’ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament) déplore que 93 % des malades soient encore équipés de dispositifs médicaux potentiellement dangereux.
En effet, des études prouvent que la mousse isolante utilisée, à base de polyuréthanes, tend à se désagréger. Le respirateur propulse alors des poussières microscopiques de plastique au plus profond du poumon, occasionnant irritations et, dans certains cas, des cancers.
Des informations en provenance de la FDA (Federal Drug Administration, USA) révèlent que PHILIPS connaissait ce problème depuis … 2015 mais a tardé à réagir, plaçant des milliers de personnes dans une situation d’exposition continue à une pollution dangereuse.
En janvier 2022, un malade a créé un groupe facebook : https://www.facebook.com/groups/1512967969087026/about En quelques semaines, ce sont presque 2.000 malades qui se sont rassemblées pour se réconforter, trouver de l’information et se préparer à la bataille.
En janvier 2022, un malade a créé un groupe facebook : https://www.facebook.com/groups/1512967969087026/about En quelques semaines, ce sont presque 2.000 malades qui se sont rassemblées pour se réconforter, trouver de l’information et se préparer à la bataille.
A la demande de François* (Bethune), Me Christophe Lèguevaques a décidé de proposer une action collective.
a déclaré l’avocat reprenant à son compte les propos de Christian TROUCHOT, porte-parole de la FFAIR.
« Nous sommes face à un médiator de la respiration »,
a déclaré l’avocat reprenant à son compte les propos de Christian TROUCHOT, porte-parole de la FFAIR.
(*) le prénom a été changé